Bangui/Aéroport : Une fille de 14 ans violée par un militaire

 Une petite de 14 ans violée par un militaire (Caporal) aux environs de 17h. En effet la petite vendait des baignés de haricots et de son passage, le caporal lui a fait appelle et a pris les baignés lui disant qu'il n'a pas de monnaie.

A la tombée du soleil, la jeune fille est repassée pour prendre son argent et son bourreau de lui dire de le suivre pour faire la monnaie. Elle était accompagnée d'une autre petite âgée d'une dizaine d'années. Les deux petites le suivirent en compagnie d'un de ses frères d'armes. Ils ont pris le chemin qui mène vers la base des Sangaris plus précisément au niveau de la station qui s'y trouvait. La petite étonnée, lui pose la question "pourquoi nous allons en brousse?" Du coup, son frère d'arme a saisi la petite de dizaine d'années pour l'amener ailleurs et le caporal s'est saisie de la petite de 14 ans. Il a déchiré les vêtements de cette dernière et commençait à la violer à même le sol. Une petite  qui est encore vierge.

Ayant accompli son acte, il abandonné la petite au sol. Elle s'est levée par la suite couvert de sang. Tout en pleurant, elle est sortie appeler au secours.

Un pasteur de passage l'avait secouru et ils sont partis rencontrer le militaire qui a avoué l'acte posé. Et souhaite que tout se gère à l'amiable. La maman de la fille étant alertée est également venue pour constater. Avec l'appui des personnes de bonnes volontés, la petite est conduite à l'hôpital communautaire où elle reçoit en ce moment des soins. Et les examens sont en cours. 

Le pasteur avait également appelé un lieutenant qui était dans le secteur et est venu constater les faits.
Nous alertons la hiérarchie de l'armée pour des mesures disciplinaires et la justice doit être fête.
La mère de cette fille couverte de larme demande justice et affirme que cette vente est destinée à payer la tenue d'école et l'assurance.

Rappelons que pour des mesures de confidentialité et autres, nous nous réservons le droit de donner l'adresse complète du bureau et aussi de la victime.
A suivre...