RCA : Quand la MINUSCA donne la mort en lieu et place de la paix

RCA : Quand la MINUSCA donne la mort en lieu et place de la paix
La MINUSCA continue de montrer son vrai visage depuis son arrivée en République Centrafricaine. L’on brandi le maintien de la paix alors que le constat de la réalité est autre chose. Si ce n’est pas d’être de connivence avec les forces du mal, c’est de donner la mort à certains jeunes, encore dans la fleur de l’âge. C’est le cas de la mort brutale d’un jeune conducteur de taxi-moto survenue à Amadagaza et occasionnée par la MINUSCA qui, par la suite a voulu remettre 10 mille franc aux parents du défunt. Et un autre cas s’est encore produit à Bangui.
Dans la journée du samedi 03 Juillet, un fait similaire c’est produit. Un camion de la MINUSCA a heurté un taxi-moto sur l’avenue de France et lequel d’accident a été à l’origine de la mort d’une personne. Et malgré l’acte posé, le conducteur du camion a pris fuite et selon les témoins, il a encore heurté des motos lors de son passage. Ce qui démontre combien il y a une nette volonté de nuire car il ne s’est même pas arrêté pour apporter les premiers soins aux victimes. Et selon les dernières informations, le bilan fait état d’une mort et deux blessés.
Sur le champ, la réaction de la population n’avait pas mis du temps. Une masse de personnes a manifesté devant la MINUSCA pour dénoncer le fait. « Nous ne pouvons plus tolérer ce que fait la MINUSCA. Elle est venue nous tuée. On n’a pas de solution à nos problèmes. Nous ne sommes pas des animaux » telles sont les phrases que l’on peut entendre dans la foule des manifestants. Ces manifestants promettent d’autres actions encore à mener contre les bavures de la MINUSCA visant à nuire et à détruire.
Notons que dans ces derniers temps, la MINUSCA s’est versée dans l’établissement des faux rapports contre les FACA et leurs alliés qui sont entrain de reconquérir le territoire qui était sous le joug des bandits armés que la MINUSCA protège mais ne parle pas de ces bavures. Alors à quoi joue exactement la MINUSCA ? La dernière décision revient au peuple souverain qui a subi le choc.  Qui vivra, verra !
Ben